Saint-Pétersbourg

 

 

  

L'heure du départ a sonné ! Retour à la gare de Ladozhski d'où nous étions arrivés la veille. Le train est à nouveau le "Sibelius", de composition finlandaise donc.

 

 

 

 

Il fait plutôt chaud dehors, short et tee-shirt sont de circonstance. Une fois installés dans le train, c'est le moment de se désaltérer avec cette excellente bière russe !

 

 

 

 

Approche de la frontière dans le sens Russie-Finlande, point de contact donc entre l’Union Européenne de Schengen et un état non-membre. La mission qui incombe aux gardes-frontières finlandais est donc particulièrement importante.   Les contrôles douaniers sont très rigoureux (maître-chien à bord). Il s'agit de lutter contre le trafic de drogue et d'êtres humains, surtout de femmes. Ce dernier phénomène s'est beaucoup amplifié ces dernières années.

 

 

 

 

 

La frontière se présente comme une longue bande d'une centaine de mètres de large dont le centre est matérialisé à intervalle régulier par deux poteaux : rouge et vert pour la Russie, bleu et blanc pour la Finlande. En dehors des points de passage règlementés, cette zone est évidemment strictement interdite d'accès. Outre des systèmes électroniques de surveillance à distance, des gardes et des maîtres-chien patrouillent en permanence dans la zone. Au total, les deux pays comptent 1340 km de frontière commune.

Le temps est venu maintenant d'aller casser la croûte au wagon-restaurant, l'escapade est terminée. Certes, elle était trop courte, mais nous aurions regretté de ne pas l'avoir faite !

 

Fin

 

 

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