Moskau Express
Trajet ALLER des 1er et 2 juillet 2008
 
  
 

Les bogies à écartement russe bien dans l'axe, les voitures peuvent être descendues.
 
 
 

La manoeuvre est surveillée attentivement.
 
 
 

Après la fin des opérations, les voitures sont rattachées une à une. Grâce au système russe, l'attelage est automatique mais aussi un peu... brutal ! Le raccordement des différentes conduites (frein, chauffage...) nécessite une intervention humaine.
 
 
 

Il est près de 7h (heure locale) lorsque nous sortons de l'atelier à l'extrémité opposée de notre entrée.
Les opérations de changement des attelages et des bogies auront duré un peu moins d'une heure.
 
 
 

Nous sommes à présent sur voie à écartement russe et le même ballet de va-et-vient s'opère à la sortie de l'atelier afin de recomposer le train. Ces mouvements permettent au passage d'admirer toute une myriade de bogies.
 
 
 

Les plaques d'intercirculation sont nettement rehaussées du fait de l'attelage russe.
Alors qu'auparavant le passage entre les voitures se faisait à niveau égal, il faut maintenant franchir cette marche.
 
 
 

Notre train rejoint à nouveau les quais de la gare de Brest Central mais de l'autre côté du bâtiment, là où les voies sont maintenant à écartement russe. De cet angle, nous pouvons mieux admirer la flêche de l'édifice et notamment l'étoile emblématique du communisme qui trône toujours à son sommet.
 
 
 

La physionnomie du train a complètement changé.
Alors que les voitures à destination de Moscou se trouvaient en queue, elles se retrouvent désormais en tête du train. Juste derrière, des voitures russes à gabarit plus large, également à destination de Moscou, ont été ajoutées pour les voyageurs au départ de Brest Central. Enfin, les voitures à destination de Saint-Pétersbourg et Minsk ferment la marche.
 
 
 

Pendant que nous attendons le changement de locomotive, une ChME3 passe sur la voie à côté.
 
 
 

Presque immédiatement après, une ChS4T se présente sur notre voie.
 
 
 

C'est bien cette locomotive qui va assurer la traction de notre train.
Du fait de la faible hauteur des quais, la masse de la machine est particulièrement imposante.
 
 

 
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